Détectée Hypersensible à mes 17 ans, j’étais alors dans l’incapacité de réguler mes émotions : tempêtes émotionnelles, sensation d’être un ovni, phase de up and down, épuisement, mauvaise estime de moi et aucun confiance en moi.
C’est alors que je fais certaines rencontres qui m’amènent à étudier le domaine de l’hypersensibilité, à m’intéresser aux MBTI et à découvrir le monde du coaching… Je décide d’explorer ces domaines auprès de professionnels.
Passionnée par outils et en même temps pas totalement satisfaite en terme d’efficacité, je suis alors dans une quête d’apaisement, je me tourne alors vers le yoga : la reconnexion au corps que cet outil amorce est une révélation. Je retrouve alors progressivement d’avantage de sérénité et décider d’aller encore plus loin en expérimentant le yoga du psoas, le yoga nidra et le yoga des émotions puis en me formant pour devenir professeure de yoga.
Mais, en tant que multi potentielle, ce n’était pas encore suffisant pour me satisfaire : je me passionne à ce moment là pour le sport qui m’aide vraiment à me décharger de beaucoup d ‘émotions désagréables, et je porte un intérêt tout particulier pour l’alimentation pour les sportifs : je teste beaucoup de choses théoriques sur mon corps avant de finalement m’entourer de médecins nutritionnistes et de diététiciens ; j’ouvre alors ma start-up dans le domaine de l’alimentation pour les sportifs.
Malgré tout mon travail dans cette quête d’équilibre, je souffre encore beaucoup de TCA (trouble du comportement alimentaire) dû à ma mauvaise régulation des émotions et du système nerveux.
Le monde sportif me fait alors découvrir les pouvoirs de l’hypnose, via la préparation mentale ; comme j’aime aller au bout des choses, je décidé de me former à l’hypnose.
Juste avant de débuter ma formation d’hypnose, je vis une crise de panique si puissante qu’elle fait ressurgir des traumas… En parallèle de l’hypnose, ces traumas me poussent à me tourner vers les blessures de l’âme et le breathwork, auxquels je me formerai quelques années plus tard.
En attendant je me passionne pour l’Hypnose et les états de conscience modifiée, et m’installe en tant qu’hypnothérapeute, une fois mon diplôme en poche. Sur le terrain, j constate à chaque fois que les problèmes sous-jacents sont toujours liés aux émotions.
De mon côté je régule mes TCA, mes peurs irrationnelles grâce à l’Hypnose et à tous mes merveilleux outils évoqués.
En 2020, on me diagnostique l’apparition de cellules cancéreuses.
Cela fait naître de nombreuses peurs et me faire prendre conscience également de l’impact du stress sur le corps. Je décide de re-mettre en pratique mes outils et de changer de mindset en me formant à l’EFT.
En consultation, je commence à combiner plusieurs outils avec l’Hypnose : d’abord de l’EFT sous hypnose, puis je crée les concepts de :
* Breathwork Hypnotique : un mélange d’hypnose et de breathwork,
* Yoga hypnotique : un mélange de yoga et d’hypnose,
* Kobido-hypnose : un mélange de massage liftant japonais utilisant les points d’accupression et la médicine chinoise, avec l’Hypnose.
Les retours sont sans appels : les effets de l’hypnose sont décuplés et les impacts sur la libération des émotions et sur la régulation du système nerveux sont spectaculaires.
Je décide alors d’aller plus loin et de proposer alors des accompagnements à 360°, tout en maintenant l’Hypnose comme mon outil principal : les résultats sont sans encore plus concluants.
Riche de toutes ces expériences, j’ai donc décidé ici de transmettre toutes ces connaissances, outils et retours qui ont transformé mes accompagnements et ont su montrer tous leurs potentiels en consultations.
L’objectif n’est pas de faire de vous des experts dans chaque domaine mais bien que vous conserviez votre expertise tout en proposant des outils complémentaires et puissants pour être en capacité de proposer es accompagnement ultra personnalisés et efficaces.
Je sais à quel point on peut se sentir démuni en tant que professionnel de l’accompagnement, quand l’outil que nous proposons n’est pas suffisant ou que les résultats escomptés sont trop minimes : nous sommes les premiers individus en contact avec des personnes qui souffrent ; nous prenons notre temps bien souvent pour les écouter, pour les comprendre.
Nous avons aussi très souvent choisis nos métiers par empathie et compassion : cette volonté d’aider est comme une vocation pour beaucoup d’entre nous.
Quand des séances sans résultats s’enchainent : nous perdons de notre motivation et de notre énergie, deux ingrédients pourtant essentiels à nos métiers.